ORGANISATEURS : Maison d'architecture de Normandie, Direction des Arts Plastiques, Ville de Pont de l'Arche
ÉQUIPE : Laure Dezeuze et Julie Pradier (photographe), assistées de Laurianne Chalopin
CONTENU : ateliers, permanence, recherche, circuits touristiques, chasse au trésor
PRESSE et COMMUNICATION : projet présenté à la 4e Biennale du Réseau des maisons de l'architecture
ÉQUIPE : Laure Dezeuze et Julie Pradier (photographe), assistées de Laurianne Chalopin
CONTENU : ateliers, permanence, recherche, circuits touristiques, chasse au trésor
PRESSE et COMMUNICATION : projet présenté à la 4e Biennale du Réseau des maisons de l'architecture
Pont-de-l’Arche nous séduit par son histoire prestigieuse lisible dans les beaux témoignages de la ville, l’Abbaye, et les bords de Seine. Pourtant, la ville médiévale semble comme inachevée ... un membre fantôme semble palpiter. Il s’agit, de l’autre côté du pont reconstruit, fort, en symétrie du bourg, aujourd’hui démoli. Situé sur la commune aujourd’hui d’Igoville, il était le pendant, le symétrique, dans les représentations de la ville de Pont-de-l’Arche.
Comment retrouver une symétrie? Où reconstruire son fort? Nous invitons à explorer les différents territoires de la ville, dont la forêt de Bord Louviers et les différents lotissements avec les habitants.
Grâce à notre expérience de scénographie et de photographie, nous souhaitons proposer aux habitants une forme de conquête de territoire, à travers un univers fictif que nous avons appelé “Le Fort Fantôme”.
La fiction en architecture permet de sortir des comportements habituels, de débrider les imaginations et de poser un regard libre et sans préjugés sur le territoire. En parlant d’architectures quasi-enfantines, on met tous les habitants sur un pied d’égalité et ouvre une lecture fictionnelle de la ville et de la forêt pour et par les habitants, Pont-de-l’Arche deviendrait un décor de comportements renouvelés et un lieu d’actions communes qui pourraient se développer avec les communes limitrophes, en particulier Igoville, lieu des activités “périurbaines” de Pont-de-l’Arche.
Comment retrouver une symétrie? Où reconstruire son fort? Nous invitons à explorer les différents territoires de la ville, dont la forêt de Bord Louviers et les différents lotissements avec les habitants.
Grâce à notre expérience de scénographie et de photographie, nous souhaitons proposer aux habitants une forme de conquête de territoire, à travers un univers fictif que nous avons appelé “Le Fort Fantôme”.
La fiction en architecture permet de sortir des comportements habituels, de débrider les imaginations et de poser un regard libre et sans préjugés sur le territoire. En parlant d’architectures quasi-enfantines, on met tous les habitants sur un pied d’égalité et ouvre une lecture fictionnelle de la ville et de la forêt pour et par les habitants, Pont-de-l’Arche deviendrait un décor de comportements renouvelés et un lieu d’actions communes qui pourraient se développer avec les communes limitrophes, en particulier Igoville, lieu des activités “périurbaines” de Pont-de-l’Arche.